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  • Mes réflexions et mon cheminement pour être mieux dans mon corps et mon esprit. En référence principalement à la médecine globale, médecines alternatives, philosophie et spiritualité orientale etc. Conseils et idées tirés de mes lectures et de mon expérien
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19 mai 2010

ALIMENTATION ANTICANCER - Alicaments et autres aliments miracle : la fin d'un mythe?

Alimentation_sante

En ce moment je suis entrain de lire « anticancer » de David Servan Schreiber, un livre très instructif qui démontre avec un mélange de bon sens et de rigueur scientifique comment certains régimes alimentaires peuvent favoriser l’inflammation (et donc le cancer) et comment certains aliments, combinés à une hygiène de vie saine, peuvent renforcent le système immunitaire.

Il y a quelques jours, à l’occasion de la sortie du livre du Dr David Khayat « le vrai régime anticancer », l’emission c ds l’air sur France 5 avait pour thématique « les menus anticancer ». Une émission très intéressante et une belle occasion pour moi de vous parler de ce sujet qui me tient particulièrement à cœur : le rapport entre santé et alimentation.

anticancer_livre

Dans tous les cas, je vous fais un petit résumé ici de ce qui s’est dit pendant l’émission et que j’ai pu compléter avec d’autres lectures que j’ai pu faire à côté. Ca complètera également bien mon précédent billet où je donne quelques conseils pour changer son régime alimentaire (voir ICI). J’ai beaucoup apprécié la plupart des interventions des invités car elles confirmaient ce que je pense, à savoir que la médecine moderne doit s’ouvrir à une approche plus globale en intégrant aux traitements classiques d’autres dimensions (gestion du stress, hygiène de vie, conseils alimentaires, exercice physique…)

MEDECINE MODERNE ET ALIMENTATION, UN PEU D’HISTOIRE

De l’antiquité au 19eme siècle, les médecins se référaient essentiellement à Hippocrate qui accordait énormément d’importance à l’alimentation. On le considère d'ailleurs comme le précurseur de la diététique, + d'infos ICI.

La médecine moderne (apparue au 19-20eme siècle) a eu tendance au contraire à réduire le traitement de la maladie au traitement technique (médicament, chirurgie). En cancérologie depuis 30 ans on observe également cela (action de plus en plus ciblée au niveau moléculaire, ne tenant pas du tout compte de la globalité de l’individu mais se concentrant sur la tumeur à éradiquer)  mais cette tendance est entrain de changer.  Cette idée de réintégrer le malade atteint de cancer dans son environnement (pratiques, mode de vie, hygiène de vie) est assez récente.

Il est urgent de penser une médecine intégrée qui accompagnerait la médecine du médicament en offrant en plus du traitement technique, une prévention et la correction des mauvaises habitudes. En plus de cette manière, le patient n’est plus totalement passif (il peut agir en partie sur sa maladie, il ne fait pas que subir le traitement)

LIEN ALIMENTATION SANTE

Ca a été démontré, oui, une alimentation saine peut prévenir les maladies. Des études ont montré par exemple qu’être suivi par un diététicien peut prévenir les rechutes de cancer, que les fruits et légumes préviennent l’obésité (elle-même source de nombreuses maladies graves), que la consommation de poisson prévient les maladies cardio-vasculaires etc. Mais attention…

IL N’EXISTE PAS D’ALIMENT ANTICANCER DANS L’ABSOLU…

Les invités sur le plateau de c ds l'air ont relativisé la notion d’aliments « anticancer » et ont bien affirmés qu’il n’existe pas vraiment d’aliment anticancer dans l’absolu. D’ailleurs ça n’a pas de sens de considérer les vertus d'un seul aliment, isolé. Pour en connaitre les effets réels il faut une intervention globale, et intégrer un aliment dans un régime alimentaire. Si des études ont démontré que le curcuma agissait contre le cancer et que vous décidez d’en manger tout en continuant de vous gaver de fast-food et de pâtisseries, ça ne suffira pas à neutraliser totalement les effets négatifs d’un régime trop gras et trop sucré. Au mieux ça aura un petit effet compensateur mais ça ne remplacera jamais une alimentation saine dans son ensemble.

Il n’y a pas de menus type comme on prescrirait une ordonnance de médicament, un traitement. Pas de substance magique consommable à volonté. D’ailleurs on peut dire « manger a volonté tel aliment » et se rendre compte dans quelques années que tel aliment en excès est mauvais (c’est le cas des phénols, des antioxydants, de certaines vitamines comme la vitamine C). Bref, un aliment bon à petite dose peut être mauvais en excès (c’est d’ailleurs ce principe sur lequel se base l’homéopathie! voir ici : http://fr.wikipedia.org/wiki/Hom%C3%A9opathie) On se rend compte aussi parfois que deux substances positives prises individuellement, lorsqu’elles intéragissent au sein d’un même repas peuvent être néfastes. (Cf les combinaisons alimentaires : http://www.abcnaturopathie.com/wordpress/?p=91) )

… MAIS IL EXISTE DES MODES DE VIE CANCERIGENES

Il n’y a donc pas des aliments anticancers (encore trop peu d’études sur le sujet). Mais il existe bien des modes de vie cancérigènes, ça on le sait. En effet on a plus de cancer qu’avant (et plus que d’en d’autres sociétés). La société occidentale, société de consommation par excellence, encourage les comportement excessifs en tout genre et les dérives (excés d’alcool, de gras, de sucre, de salé) rajouter à cela une sédentarité (de moins en moins d’exercice physique, on ne marche même plus avec la voiture) moins de fibres, moins de fruits et légumes, des aliments raffinés (la baguette est faite à partir de grains de blé auxquels on a enlevé tous les nutriments contrairement au pain complet. Pareil pour les pâtes complètes etc.). Résultat le corps ne peut plus évacuer l'arrivée massive de toxines (exercice physique) et est carencé en nutriments (pas assez d'aliments à densité nutritionnelle elevé), ces mêmes nutriments qui lui permettrait de lutter contre l'arrivée massive de toxines (calorie vide)

CALORIE VIDE : aliment très calorique mais qui possède peu de nutriments essentiels (aliments raffinés, pâtisseries, fast-food etc.)

ALIMENT A DENSITE NUTRITIONNELLE ELEVEE : aliment peu calorique mais riche en nutriments essentiels (fruits, légumes etc.)

Bref c’est tout un mode de vie qu’il faut revoir. Un mode de vie qui pourrait se résumer à : éviter au maximum les calorie vide et privilégier les aliments a densité nutritionnelle élevé.

Pour vous donner une idée voici une liste, dans l’ordre décroissant, des aliments très riche en lipide : http://www.ligne-en-ligne.com/nutriment-lipides-204.html mais c’est surtout la proportion d’acides gras saturé-polyinsaturé-moninsaturé qui est importante puisque les acides gras insaturés sont des nutriments bénéfiques. Les acides gras saturés eux sont à éviter. Donc voici la liste des aliments du plus riche au moins riche en acide gras saturé : http://www.ligne-en-ligne.com/nutriment-acides-gras-satures-606.html

Une autre liste d’aliments du plus calorique au moins calorique : http://www.ligne-en-ligne.com/nutriment-energie-208.html

En haut de ces listes on retrouve souvent les mêmes aliments qui sont donc des aliments à consommer avec modération.

Aucun aliment n’est bon dans l’absolu (même l’eau, les épices, en excés sont mauvais) et même les aliments décriés (viande rouge, chocolat, ketchup, beurre) possèdent des substances bénéfiques consommé en petite quantité et cuisiné d’une certaine manière, peuvent apporter des choses positives. Il faut donc :
- privilégier certains aliments (ce qui inclus les aliments anticancer)
- éviter certains aliments (cancérigènes quand ils sont consommés en excés).
- faire attention à la manière dont on accompagne les aliments (trop gras, trop salé)
- faire attention à la manière de cuire (attention au grillé)
- faire attention aux proportions (trop de sel, trop de sucre raffinés – pâtisserie, pâtes blanches, pain blanc - trop de gras – viande rouge, fromage, œuf, certains poissons, charcuterie)
- éviter les excès en tout genre.

TROP D’INFOS TUE L’INFO, CONSEILS DE BASE

Face à ce torrent d’infos contradictoires, les invités rappelent que les prescriptions générales sont difficile à appliquer car chaque individu a des besoins particuliers (génétique, histoire familiale, état de chaque organe plus ou moins usés, réceptivité des aliments : un aliment sera bien reçu par un individu, nocif pour un autre), il vaut mieux une personnification de la nourriture. Les invités conseillent aussi de pas lire les infos au pied de la lettre, de lire beaucoup et d’en faire ressortir les grands conseils généraux car au fond ce sont toujours les mêmes qui ressortent. En gros on peut résumer ainsi certains points qui font consensus :

- Il faut manger de tout, le plus varié possible

- manger surtout les catégories d’aliments suivantes : fruits, légumes, céréales complètes, féculent, protéines végétales, légumineuses. Cela doit représenter 80% de notre alimentation en gros.

- consommer un peu de protéines animales (le moins gras possible, éviter les produits laitiers gras, les viandes grasses, grillées etc.)

- éviter le grignotage. On peut manger de 2 à 5 repas par jour, mais si on fragmente trop, ça devient du grignotage, on mange moins d’aliments intéressants, ce ne sont pas de vrais repas. 8 repas par exemple là c’est trop, ça relève de la compulsion alimentaire. 3 vrais repas et 2 collations (composés de fruits par exemple) c’est l’idéal

- privilégier l’agriculture raisonnée (bio, bleu blanc cœur) au tout chimique-industriel. Un bon aliment santé a été bien cultivé, le moins transformé possible (les condiments, les plats cuisinés et autres aliments bourrés d’additifs alimentaires – jeter toujours un coup d’œil sur la composition.) + d'infos ici :
http://www.les-additifs-alimentaires.com/

Tout ça est assez bien illustré par le régime méditerranéen http://fr.wikipedia.org/wiki/R%C3%A9gime_m%C3%A9diterran%C3%A9en , mais il en existe plein d’autres.

Bref donc pour récapituler : pas d’aliment miracle mais un mode de vie général à revoir. Penser « global ». Il vaut mieux interdire un mode de vie excessif que promouvoir certains aliments soit-disant anticancer (a part enrichir l’industrie agro-alimentaire ça ne sert pas à grand-chose)

ATTENTION AUX RECETTES MIRACLES

Les invités ont beaucoup mis l’accent sur le fait qu’il faut prendre avec recul ce genre de bouquins qui proposent des recettes miracle genre « buvez du jus de grenadine, curcuma à volonté, ça réduit les risques de cancer ». Sans forcément le vouloir, ces livres jouent beaucoup sur les peurs alimentaires des gens, la peur de perdre sa santé (d’autant plus que les personnes fragiles, malades, en détresse peuvent être prêtes à tout entendre, or pour un avis censé, on trouve 10 charlatans avides de récupérer un filon). Même si l’esprit de ces livres est de dire qu’il faut revoir complètement son hygiène alimentaire (c'est le cas d'"anticancer"), les gens ne retiendront que les petites astuces qui ne demanderont pas beaucoup d’efforts, ils espèrent qu’en continuant de manger comme ils le font mais en rajoutant du curcuma, ça annulera les effets néfastes des autres aliments. Or ce n’est pas le cas. Et puis attention à l’automédication, boire du jus de grenade ne remplacera jamais les conseils d’un nutritionniste.

ALICAMENT, LOBBY AGROALIMENTAIRE ET MARKETING

alicament3

ALICAMENT ET COMPLEMENT ALIMENTAIRE

Un complément alimentaire se présente comme un médicament (sous forme de gélule, comme la levure de bière par exemple) mais il n’a pas reçu d’AMM (autorisation de mise sur le marché, après essais clinique et validation scientifique) mais le fabricant peut le me mettre librement sur le marché sous l’appelation « complément alimentaire »  (d’ailleurs attention aux compléments alimentaires vendus sur le net, beaucoup moins controlé car c’est un marché mondial. Impossible de connaitre la composition)

Un alicament est un aliment de base auquel on rajoute des choses (minéraux, vitamine, bactéries probiotique, ferment lactique, produits végétaux)

UNE AUBENE POUR L’INDUSTRIE AGRO-ALIMENTAIRE

Face au message académique et rébarbatif des nutritionnistes les messages marketing qui crient au produit miracle vont forcément faire mouche auprès des gens. Attention danger, c'est au consommateur de faire la part des choses.

HISTORIQUE DE L’ALICAMENT

Lorsque les études sur les appprts nutritionnels conseillés ont démontré des carences possible, on a autorisé l’industrie alimentaire ) à enrichir des aliments (comme par exemple rajouter de l’iode dans le sel). Nouveau marché, nouveau vocabulaire, nouvelle classe d’aliment : c’est l’alicament (aliment-médicament) marché rendu possible par la pensée magique : en ajoutant une substance à un aliment on en fait un médicament.

Par ailleurs, un contexte particulier a favorisé le développement de ces alicaments. Quand les marques alimentaires de distributeurs se sont développés (par exemple carrefour, monoprix, auchan) les fabricants d’aliments de grandes marques (par exemple danone, nestlé) ont vu arriver une sérieuse concurrence. Pour continuer à justifier le coût plus élevé de leurs produits (plus chers que les produits des distributeurs) même si la qualité de base est la même, les grandes marques ont du trouver une valeur supplémentaire a donner à leur produit. L’essentiel du discours des fabriqants est là : se différencier du point de vue marketing.

C’est ce que dénoncent les invités, avec ce genre de livres qui vantent les méritent du curcuma et autre jus de grenade, ce sont les industriels qui sont les seuls vrais gagnants de toute cette mascarade voyant là un excellent filon à exploiter. Aliments enrichis en oméga 3, eau aromatisée au curcuma, beurre anti-cholesterol, probiotique et autres yaourt au bifidus actif etc. au total les alicaments présentent un marché de 3 milliards d’euros dans le monde.

En effet, ces produits sont vendus 30% plus chers en moyenne mais pas forcément de meilleure qualité que les autres. D’ailleurs l’autorité européenne de sécurité des aliments (EFSA) a décidé d’intervenir pour y voir plus clair : desormais chaque allégation de santé doit être justifié scientifiquement. Résultat sur 439 dossiers reçus, seulement 9 ont été validé ! Les 430 autres ont été scientifiquement invalidé ou alors la composition de l’aliment avait du mal à être caractérisée. Par crainte de désavoeu ou par prudence, beaucoup de groupes alimentaires ont retiré certains produits ce qui ne les empêche pas à côté de continuer d’aller vanter les mérites de leur produits auprès des médecins et nutritionnistes afin que ceux-ci prescrivent leur alicament au même titre qu'un médicament (si vous avez vu le documentaire "les médicamenteurs" vous savez que les médecins peuvent être très crédules).

Couv_Medicamenteurs

Or les intervenants sur le plateau et dans le reportage sont clairs : le concept de l’alicament c’est une arnaque, une invention marketing des groupes industriels sans caution médicale. Un actimel le renforcera pas plus les défenses naturelles qu’une pomme. En plus la pomme contient naturellement des nutriments essentiels alors que l’actimel lui présente l’inconvénient d’être transformés industriellement, on lui a rajouté du sucre, des édulcorants, autant de toxines dont le corps n'a pas besoin.

Même les alicaments efficaces s’avèrent totalement inutile s’il ne s’intègrent pas à une hygiène alimentaire saine. L’agence Française des médicaments le dit : si on a des problèmes de cholesterol, pour le réduire il faut aller voir un médecin et changer de mode de vie. Changer de marque de beurre n'arrangera rien voire empirera les choses car cet alicament n'a pas été testé scientifiquement.

LA MORALE DE CETTE HISTOIRE

Vous voulez améliorer votre santé par l’alimentation ? Oui c’est possible ! Pour cela changez votre hygiène de vie globale. Si toutefois vous voulez rajouter un petit plus à cela, vous pouvez consommer certains alicaments naturels (4 ou 5 noix vous apportent vos besoins quotidiens recommandés en oméga 3). N’oubliez jamais que les alicaments sont des aliments transformés industriellement (attention aux additifs alimentaires) et n’ont aucune caution scientifique (mais une sacré caution marketing !)

Nutrition et protection des consommateurs : http://www.fao.org/ag/agn/index_fr.stm

voir aussi cet entretien avec Serge Hercber (inserm, étude nutrinet) : http://lamaisonducancer.com/magazine/la-cuisine/alimentation-et-prevention/pas-de-recette-miracle-contre-le-cancer-mais-des-comp

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RESUME EMISSION

Habituellement, à cette saison, les diètes minceur et autres régimes tonus font la une des magazines. Pourtant, cette année, les menus anticancer sont mis à l’honneur. Mais notre alimentation peut-elle nous permettre de prévenir le cancer ?

Si l’alimentation est longtemps restée à l’écart de la prévention santé, elle se situe aujourd’hui au centre des questionnements. D’innombrables messages, souvent redondants, parfois contradictoires, sont délivrés sur le sujet et il est bien souvent difficile de faire la part des choses lorsqu’il s’agit de ménager notre santé.

Pour en finir avec les idées fausses, le professeur Khayat, chef du service de cancérologie à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière et ancien directeur de l’Institut national du Cancer (Inca) a décidé d’analyser des centaines d’études internationales pour établir Le vrai régime anticancer, nuancé en fonction de l’âge, des modes de culture ou de cuisson des aliments. Fruits, légumes, poissons, céréales, viandes, vin... tout y passe.

Ainsi, on y apprend notamment que les vertus du jus de grenade, du thé vert, du curcuma ou encore des tomates sont établies. Mais aussi qu’une trop grande quantité de jus d’orange favoriserait le développement de mélanomes malins ou que les poissons, riches en oméga 3, ne permettraient pas de diminuer significativement les risques de la maladie.

Enfin, si 30 % des cancers seraient dus à notre alimentation, le professeur souligne qu’il ne suffit pas de modifier ses menus pour prévenir le tiers d’entre eux.

INVITES

Jean-Michel Cohen (médecin nutritionniste)
Jacques Fricker (ùédecin nutritionniste à l’hôpital Bichat de Paris)
François Goldwasser (cancérologue)
Olivier Andrault (chargé de mission Alimentation et nutrition à l’UFC Que choisir ?)

VOIR L’EMISSION EN LIGNE

Pour ceux que ça intéresse, vous pouvez encore visualiser l'emission ici http://www.france5.fr/c-dans-l-air/index-fr.php?page=resume&id_rubrique=1438 encore quelques heures. Après seuls les reportages (un sur le livre du docteur Kahyat, un autre sur le curcuma, et un 3ème sur les compléments alimentaires) pourront être visualisés mais pas les commentaires des invités ni les débats.

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Commentaires
V
La cancer du rectum est un cancer digestif, donc directement lié à l'alimentation. Un régime végétalien s'impose dans tous les cas, si l'on veut guérir, et se maintenir en bonne santé.
N
c'est une question que je pose espérant qu'il peut y avoir une réponse? une parente a moi souffre d'un cancer du rectum peut-elle guérir?
N
c'est une question que je pose espérant qu'il peut y avoir une réponse? une parente a moi souffre d'un cancer du rectum peut-elle guérir?
S
Cancer : mieux le guérir et le prévenir http://www.guerir.org/
S
Un site très intéressant, avec des articles régulièrement mis à jour, sur le lien entre alimentation et cancer : http://lamaisonducancer.com/magazine/la-cuisine<br /> qui vont ds le même sens que ce que l'emission c ds l'air
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